28 novembre 1979 Térrée
Me terrer, m'enfouir
Me tirer une balle de fiel de la tête
Et y placer le soleil
Rester impassible derrière eux, devant, avec.
Rauque
Et puis m'enfumer sans hâte
Ternir l'évidence
Trahir l'exil
Peut-être qu'il va pleurer
Le génie malsain en bouteille.
Peupler les yeux vides
Des détails de beaux voyages
Partir sans partir
Rester sans rester
Debout, les genoux fléchis
Je vous Haisme
Abîme
Moi
Ne penser qu'à personne
Et pour lui et pour elle
Repos
Repose toi mon âme
Repose toi mon amour
Qu'il ne reste de toi que des traits
Sanguinolents
Qui tiédissent en silence
Ne rien juger, ne rien abîmer
Ravages de ma tête
Fuites fuies
Rien ne finira donc jamais ?
Mon amour, arrête moi vite
J'en ai assez de me noyer
Plus rien, être à sec
Les bruits m'essoufflent
Taisez vous, plus un cri
Ne ris pas.
Serre moi fort
J'ai peur
Me tirer une balle de fiel de la tête
Et y placer le soleil
Rester impassible derrière eux, devant, avec.
Rauque
Et puis m'enfumer sans hâte
Ternir l'évidence
Trahir l'exil
Peut-être qu'il va pleurer
Le génie malsain en bouteille.
Peupler les yeux vides
Des détails de beaux voyages
Partir sans partir
Rester sans rester
Debout, les genoux fléchis
Je vous Haisme
Abîme
Moi
Ne penser qu'à personne
Et pour lui et pour elle
Repos
Repose toi mon âme
Repose toi mon amour
Qu'il ne reste de toi que des traits
Sanguinolents
Qui tiédissent en silence
Ne rien juger, ne rien abîmer
Ravages de ma tête
Fuites fuies
Rien ne finira donc jamais ?
Mon amour, arrête moi vite
J'en ai assez de me noyer
Plus rien, être à sec
Les bruits m'essoufflent
Taisez vous, plus un cri
Ne ris pas.
Serre moi fort
J'ai peur