Mer, creux, dis ?
L'autre soir, je suis allée me vautrer devant la télé...Je suis tombée sur une émission sur Arte sur les hommes.
Trop de féminitude dans ce qu'on demande aux zoms.
Oui, oui, c'est ce qu'on nous disait.
Que les zoms ne sont plus des vrais zoms.
Alors, les femmes sont toutes perdues...comme des bicyclettes dans le brouillard.
Pauvres, pauvres femmes.
Plus de catadioptre.
Alors elles tournent en rond.
Les zoms deviennent fous.
Nos garçons ne savent plus prendre leur autonomie.
Ils peignent des figurines pendant des zeurs.
Jouent à des jeux de rôles.
Ratent le permis cinq fois.
Font des zétudes pas pour eux.
Se posent des tas de questions.
Les fâmes...
Elles dépensent tous leurs sous en fringues.
Mettent des tonnes de rouge à lèvres.
Ne trouvent pas de père pour leurs enfants.
Caressent des peluches...
Et mangent encore du nutella à soixante cinq ans.
Consternation.
Trop de féminitude dans ce qu'on demande aux zoms.
Oui, oui, c'est ce qu'on nous disait.
Que les zoms ne sont plus des vrais zoms.
Alors, les femmes sont toutes perdues...comme des bicyclettes dans le brouillard.
Pauvres, pauvres femmes.
Plus de catadioptre.
Alors elles tournent en rond.
Les zoms deviennent fous.
Nos garçons ne savent plus prendre leur autonomie.
Ils peignent des figurines pendant des zeurs.
Jouent à des jeux de rôles.
Ratent le permis cinq fois.
Font des zétudes pas pour eux.
Se posent des tas de questions.
Les fâmes...
Elles dépensent tous leurs sous en fringues.
Mettent des tonnes de rouge à lèvres.
Ne trouvent pas de père pour leurs enfants.
Caressent des peluches...
Et mangent encore du nutella à soixante cinq ans.
Consternation.